top of page
51SyIQpXuxL.jpg
51Die8y2Q+L.jpg
9782354174965_1_75.jpg
louis-xx-contre-enquete-sur-la-monarchie-thierry-ardisson-746931_ML.avif
713xTjd+QhL._UF1000,1000_QL80_.jpg
61JgQRv2DdL.jpg
61Zcaz8lW4L._AC_UF1000,1000_QL80_.jpg
9782857046493-475x500-1.jpg
61u+rD4NoWL._SL1500_.jpg
716j9gxh8qL._SL1500_.jpg
IMG_E8733.JPG
71Y8SIPg3jL._SL1500_.jpg
9781637906026_267x.webp
téléchargement (3).jpg
téléchargement.jpg
photo_2023-12-15_21-44-42.jpg
photo_2023-12-15_21-44-49.jpg
téléchargement (2).jpg
téléchargement (1).jpg
51t0dq-3lTL._SL1360_.jpg
51R0Ms2JBzL.jpg
61XFGN4bftL._SL1500_.jpg
41EMJD4f1OL.jpg
61Q+h9xczZL._SL1500_.jpg
81Euw05xzPS._SL1500_.jpg
61hJ8RTvyVL._SL1499_.jpg

Si tout le monde connaît Louis XIV, personne, ou presque, ne connaît Louis XX. De l'un à l'autre, la filiation est cependant directe. L'actuel chef de la Maison de Bourbon descend en ligne droite du roi soleil, par la voie des Bourbons d'Espagne, ce qui en fait l'aîné des Capétiens. Un imbroglio historique et dynastique accrédita longtemps l'idée que la succession au trône de France était passée entre les mains des princes d'Orléans, descendants du roi Louis-Philippe. Entre les deux familles, dont le chef peut prétendre à la couronne de France, arguments juridiques et moraux se sont combattus depuis plus d'un siècle sans que jamais n'en sorte de formule définitive et satisfaisante. En d'autres termes, qui est aujourd'hui le légitime héritier du trône ? Au terme d'une enquête minutieuse, le présent ouvrage tente de trancher le débat par une approche originale, combinant l'histoire, la science politique et le droit international. Dans un récit passionnant, il retrace la longue marche des relations entre la France et l'Espagne, depuis le temps des Mérovingiens et des Wisigoths jusqu'à nos jours, ainsi que les entrelacs complexes des dynasties royales, tantôt alliées, tantôt rivales. Né en 1974, de culture hispanique mais de nationalité française, Louis XX continue de s'abstenir de toute intervention dans la vie politique française mais n'a pas renoncé à incarner le destin de la nation. C'est aussi son histoire, parfois dramatique, que raconte l'auteur.

Au terme d'une enquête minutieuse, le présent ouvrage, revu et augmenté depuis l'édition de 2011.

Si tout le monde connaît Louis XIV, personne ou presque ne connaît Louis XX. De l'un à l'autre, la filiation est cependant directe. L'actuel chef de la Maison de Bourbon descend en ligne droite du Roi-Soleil par la voie des Bourbons d'Espagne, ce qui en fait l'aîné des Capétiens. Un imbroglio historique et dynastique accrédita longtemps l'idée que la succession au trône de France était passée entre les mains des princes d'Orléans, descendants du roi Louis-Philippe. Entre les deux familles, dont le chef peut prétendre à la couronne de France, arguments juridiques et moraux se sont combattus depuis plus d'un siècle sans que jamais n'en sorte de formule définitive et satisfaisante. En d'autres termes, qui est aujourd'hui le légitime héritier du trône ? Dans un récit passionnant, il retrace la longue marche des relations entre la France et l'Espagne, depuis le temps des Mérovingiens et des Wisigoths jusqu'à nos jours, ainsi que les entrelacs complexes des dynasties royales, tantôt alliées, tantôt rivales.

louis_xiv_of_france_recadré_0-removebg-preview.png

À moins d'un an de l'élection présidentielle, dont il est impossible d'imaginer l'issue tellement elle comporte d'inconnues, après des élections régionales qui ont démontré à quel point le pays traverse une crise démocratique inédite, se pose très sérieusement la question de la survie de la Ve République et d'abord, du régime présidentiel.
Et si la VIe République devenait... une monarchie parlementaire, à l'espagnole, à l'anglaise, à la belge, à la néerlandaise, à la suédoise... ?
Louis de Bourbon, potentiel Louis XX, quarante ans, héritier légitime de la couronne de France, s'est déclaré à plusieurs reprises dans les médias français et étrangers " disponible pour la France ".
Au travers d'une série d'interviews, l'auteur dresse un portrait de celui qui pourrait être sollicité demain, si l'élection présidentielle aboutit à une situation de blocage insurmontable, pour incarner l'autorité et le pouvoir, comme un De Gaulle ou un Mitterrand, ces présidents qui en d'autres temps auraient certainement été rois.
Interrogé sur de nombreux sujets majeurs, traitant aussi bien d'économie, d'évolution des mœurs, que de société ou de politique étrangère, Louis de Bourbon, alias Louis XX, révèle un homme tout à la fois moderne, pragmatique, vivant avec son temps, mais attaché à un socle de valeurs éternelles, celles de la France millénaire.

987. À treize ans du terrifiant rendez-vous de l'An Mille, dans le chaos des derniers règnes carolingiens, au milieu de la multiplication des souverainetés qui marquent la naissance de la féodalité, en pleine anarchie se fonde la nouvelle monarchie : le duc de France, Hugues Capet, est élu roi. Mille ans plus tard, qui inaugurerait légitimement, en qualité de roi de France, le second millénaire de la monarchie ? Louis XX. Il existe. C'est l'arrière-petit-fils d'Alphonse XIII d'Espagne. Il a douze ans. Vêtu de jeans et en baskets, il fait du skate sur une avenue chic de la banlieue madrilène, sous le simple nom de S.A.R. Monseigneur le Prince Louis. À travers les scènes les plus spectaculaires ou les plus intimes de la vie des derniers Bourbons de la branche aînée, Louis XX révèle la face cachée de l'Histoire et pose, sur un ton nouveau, moderne, drôle, la question du Roi.

On nous enseigne que ce qui s'oppose aux dictatures et à l'oppression, c'est forcément les républiques, les démocraties et les Droits de l'Homme. Pourtant lorsque l’on fait le bilan de ce qui a été fait au nom de cette sacro-sainte trinité, on ne peut s'empêcher de constater qu'elle s'apparente cruellement, à une forme de dictature qui ne veut pas dire son nom…
Ce que vous allez lire dans ce livre n'a rien de conformiste. Le but étant d’apporter à toute intelligence curieuse et critique, ce que les médias et l'éducation nationale vous cachent dans un but idéologique afin de mieux vous déraciner et vous manipuler.
Ces dossiers furent traités avec sérieux et rigueur dans le cadre de la création de vidéos, afin de mieux mettre en lumière ce que l’histoire nous enseigne sur l’aspect destructeur du régime républicain en France.
Pour ceux qui seront sceptiques à la lecture de ces dossiers contenus dans ce livre, nous vous invitons à faire vos propres recherches avant de formuler toute critique inutile !

On nous enseigne que ce qui s'oppose aux dictatures et à l'oppression, c'est forcément les républiques, les démocraties et les Droits de l'Homme.
Pourtant, lorsque l’on fait le bilan de ce qui a été fait au nom de cette sacro-sainte trinité, on ne peut s'empêcher de constater qu'elle s'apparente cruellement, à une forme de dictature qui ne veut pas dire son nom…
Ce que vous allez découvrir dans ce livre n'a rien de conformiste. L'objectif est de fournir à toute personne curieuse et critique, des informations que les médias et le système éducatif dissimulent dans un dessein idéologique visant à influencer et manipuler les individus.
Ces dossiers furent traités avec sérieux et rigueur dans le cadre de la création de vidéos, afin de mieux mettre en évidence les conséquences néfastes du régime républicain en France, à travers l'analyse historique, selon la méthode empirique.
Pour les lecteurs sceptiques à l'égard des dossiers présentés dans cet ouvrage, il est recommandé d'effectuer des recherches indépendantes avant d'émettre toutes critiques infondées.

Le 8 juin 1773 avait eu lieu l’entrée solennelle de Louis XVI, encore dauphin, dans la ville de Paris, avec la Dauphine. L’enthousiasme de la foule allait au délire. Les maisons étaient en fleurs, les chapeaux volaient dans les airs. Marie-Antoinette voulut descendre dans les jardins, se mêler directement à la foule, remercier de plus près, serrer les mains qui se tendaient à elle. Et elle écrit à sa mère une lettre où bat son cœur « Ce qui m’a touchée le plus, c’est la tendresse et l’empressement de ce pauvre peuple qui, malgré les impôts dont il est accablé, était transporté de joie de nous voir… » Vingt ans après, en 1793, ce n’est plus d’amour mais de haine que la France parait enivrée. Le but de ce livre est de montrer que l’agent de ces œuvres de mort fut la Franc-Maçonnerie.

51AHrN+vr-L-removebg-preview (1).png
IMG_E6630-removebg-preview.png
jacques-fabien-gautier-dagoty-portrait-de-marie-antoinette-removebg-preview.png

Des centaines de livres ont été écrits sur le sujet, les thèses les plus rocambolesques ont été échafaudées : l'enfant mort à la prison du Temple, le 8 juin 1795, n'était pas Louis XVII mais un enfant substitué, le prince authentique étant décédé quelques mois plus tôt. D'autres ont fermement soutenu que celui-ci s'était évadé, l'inhumation du corps dans une fosse commune et la disparition du squelette confortant toutes les conjectures. Après la Révolution, les soi-disant prétendants affluèrent de toutes parts, et le plus célèbre d'entre eux parvint même à obtenir du gouvernement néerlandais l'autorisation de prendre le patronyme de Bourbon ! Aujourd'hui, les progrès de la science en matière d'ADN réduisent à néant toutes les suppositions avancées pendant deux siècles. Grâce au coeur de l'enfant, que déroba l'un des médecins chargés de l'autopsie, l'énigme est enfin résolue. Se livrant à une démonstration historique et scientifique d'une totale rigueur, Philippe Delorme nous rappelle les grands moments de cette énigme captivante et nous raconte l'extraordinaire aventure de la miraculeuse identification qui vient d'être effectuée. Les tribulations de ce coeur, plusieurs fois légué, subtilisé, dissimulé, égaré, se lisent comme la plus palpitante des enquêtes policières et clôt de manière irréfutable l'un des plus ténébreux épisodes de l'Histoire de France.

Madame Élisabeth, née le 3 mai 1764 à Versailles, était la plus jeune sœur du roi Louis XVI de France. Elle grandit au sein de la cour de Versailles, se distinguant par sa piété profonde et son dévouement envers ses proches, notamment envers son frère le roi. Malgré plusieurs propositions de mariage, elle choisit de rester célibataire.

Lorsque la Révolution française éclata, elle soutint fermement Louis XVI et Marie-Antoinette, refusant de s'exiler malgré les dangers. Emprisonnée avec la famille royale au Temple à Paris, elle lui apporta réconfort et soutien. Après l’exécution de son frère en 1793, elle fut jugée, condamnée à mort et guillotinée le 10 mai 1794, à l’âge de 30 ans.

Madame Élisabeth a été honorée par de nombreux historiens et royalistes au fil des ans. Elle est souvent saluée pour sa force d’esprit, son dévouement envers sa famille, et sa foi inébranlable face aux épreuves de la Révolution. Son procès en béatification, ouvert en 1953, a été relancé en 2017.

Après une biographie de la princesse, cet ouvrage présente une vision intime de ses pensées et sentiments au travers de sa correspondance, de son procès et de témoignages divers. Bien qu’il ne s’agisse pas réellement de « Mémoires » au sens littéraire classique, ce livre reste une contribution essentielle à la compréhension de cette période charnière de l'histoire française. Il offre aussi un aperçu fascinant et unique de la vie d'une figure royale méconnue et de sa remarquable spiritualité.

François de Barghon Fort-Rion, né en 1832 et décédé en 1899, était historien et homme de lettres. Il a écrit de nombreux
ouvrages et collaboré avec Alexandre Dumas au sein de son journal "Le mousquetaire". Il fut membre de la Société de l'Histoire de France, du Conseil héraldique de France, de l'Institut royal et grand-ducal de Luxembourg, de l'Académie royale de l'histoire d'Espagne, et du Collège international des lettres, sciences et arts de Milan.

La France, patrie des rois et des révolutions, traverse une période de crises politiques et sociales sans précédent. Face à la fragmentation de l’État et à l’érosion de notre identité nationale, une question essentielle émerge : et si la solution résidait dans un retour aux sources, dans une restauration de la monarchie ?

Ce livre propose une exploration profonde et rigoureuse de l’histoire de la royauté française, depuis les premiers souverains mérovingiens et carolingiens jusqu’à l’âge d’or des Capétiens et des Bourbons. Revisitez les défis des Valois, les guerres de religion, la grandeur de Louis XIV, le tumulte de la Révolution française, et les excès de la République. Chaque page éclaire les fondements de notre nation et révèle la pertinence d’une monarchie absolue adaptée au XXIe siècle.

Louis de Bourbon, descendant direct des rois de France, est l’héritier légitime de ce trône. À travers une biographie minutieuse et une analyse de ses valeurs et de sa vision pour la France, cet ouvrage démontre pourquoi il est le souverain naturel dont la France a besoin. Découvrez son lien indéfectible avec la tradition monarchique, son engagement pour le renouveau national, et sa capacité à offrir stabilité, unité, et prospérité à notre pays.

Ce livre ne se contente pas de défendre une idée. Il propose des solutions concrètes pour une transition pacifique vers une monarchie moderne, tout en répondant aux critiques et aux scepticismes. Il examine l’impact potentiel de la monarchie sur l’économie, la culture, la diplomatie, et la société française dans son ensemble.

Écrit avec rigueur et passion, cet ouvrage est un appel à l’action. C’est une invitation à redécouvrir la grandeur de la France monarchique et à envisager un avenir sous l’égide de Louis de Bourbon.

Rejoignez-nous dans cette quête noble et essentielle. Ensemble, restaurons la France. Pour le roi, pour la patrie, pour notre avenir.

png-clipart-book-books-furniture-desktop-wallpaper-removebg-preview.png

Le drame de notre Education nationale actuelle, qui a fait de la nuance le début du fascisme, présente la Révolution française comme un acte salvateur, presque magique, venu libérer les Français du joug impérieux d'un roi mauvais, quel que soit son patronyme. La "parole à la défense" étant par "principes républicains" inconcevable, car religieusement, ennemie du bien. Dans cet essai, François-Xavier Consoli donne justement la parole à la défense. En creusant la pensée contre-révolutionnaire, l'essayiste nous fait (re)découvrir des penseurs fameux, comme Joseph de Maistre, Louis de Bonald, et d'autres moins rebattus comme Jacques Mallet du Pan ou Juan Donoso Cortés. Une école critique, avec ses nuances, ses justesses et parfois ses exagérations, qui nous offre une vision un peu plus haute des événements, loin de la vulgate républicaine, farouchement antichrétienne et semeuse d'arbres nouveaux. Par-delà la démystification raisonnée de la Révolution, l'intérêt de cet essai est de montrer combien la critique contre-révolutionnaire de l'individualisme, du collectivisme, de l'économisme et du matérialisme demeure aujourd'hui actuelle. Sans oublier le point essentiel qu'est l'arrachement métaphysique. Pour le contre-révolutionnaire, la religion est la clef de l'histoire, la clef de toutes les civilisations connues. Une société qui perd sa religion, tôt ou tard perd sa culture. Le XXIème siècle sera religieux comme disait un certain Malraux. L'homme occidental, centre de lui-même dans un monde athée depuis maintenant plusieurs siècles, n'aura d'autre choix que de lever la tête pour, de nouveau, s'en rendre compte.

Henri_IV_portant_la_croix_du_Saint-Esprit_-_Frans_Pourbus_le_Jeune-removebg-preview.png
96-021504-removebg-preview.png

Jeanne d'Arc. Une carrière qui occupe deux années. Deux ans dans une période caractérisée par ce qu'on appelle la guerre de Cent Ans. Il n'y a sans doute pas de personnage au sujet duquel nous soyons mieux et plus abondamment documentés.Cette Petite vie de Jeanne d'Arc est composée presque uniquement de témoignages du temps. Elle permet de préciser les cadres personnel, politique, militaire, juridique, religieux et littéraire dans lesquels se situe Jeanne.
Régine Pernoud, historienne, auteur d'une trentaine d'ouvrages dont la plupart sont devenus des classiques, était l'auteur le plus autorisé pour évoquer avec ferveur l'itinéraire d'un des personnages les plus surprenants de l'histoire humaine.

istockphoto-628925698-612x612.jpg

Depuis longtemps déjà, mais plus spécialement depuis la Guerre, nous assistons à un spectacle effrayant d'anarchie dans tous les domaines: religieux, international, politique, intellectuel, artistique, social, économique, financier, etc., et enfin familial. Si la famille elle-même est atteinte, c'est la preuve que le mal est très profond; quand le père n'est plus respecté, la société court aux abîmes, car la famille est à la base de tout l'édifice. Prononcés en 1925 lors d'un discours, ces mots du marquis de la Franquerie sonnent plus vrai encore aujourd'hui, presque un siècle plus tard. Un an après cette allocution, il publie La Mission divine de la France pour tenter de répondre à la question: Pourquoi la France se meurt-elle ?, et pour lui montrer le chemin de la rédemption. La France a une mission et ne peut cesser d'être catholique et monarchique sans cesser d'être la France . S'appuyant sur de nombreux penseurs, écrivains, philosophes, de l'abbé Vial à Tocqueville ou Mgr Delassus, mais aussi sur des prophéties et les témoignages d' âmes privilégiées, l'auteur éclaire l'histoire de France à la lumière de cette mission qui lui fut donnée: être le porte-flambeau de la Vérité catholique, le royaume de la religion universelle, d'où doit rayonner la royauté universelle du Christ . Mais ce rayonnement ne peut se faire sans celui du roi, lieutenant de Dieu et père de la nation, souverain par la grâce divine. Rayonnement extérieur, mais aussi force intérieure, cohésion du peuple, symbole de l'autorité et de l'amour: Le jour où la Révolution a coupé la tête de Louis XVI, elle l'a coupée à tous les pères de famille. Citant Clemenceau, pour qui depuis la Révolution, nous sommes en révolte contre l'autorité divine et humaine, le marquis de la Franquerie, constate que les droits de l'homme sont la négation de ceux de Dieu et met en garde la France: Tant que la France ne reprendra pas sa place de fille aînée de l'Église, nous la verrons [...] rouler d'abîme en abîme ... André Lesage (1901-1992), dit marquis de la Franquerie, diplômé de l'École des sciences politiques et de l'École du Louvre, fut rédacteur en chef de la Revue internationale des sociétés secrètes et collabora à plusieurs journaux catholiques, antirévolutionnaires et anti-maçonniques. En 1939, il reçut le titre honorifique de camérier secret de cape et d'épée de Sa Sainteté

istockphoto-1280950062-170667a.jpg

Ce remarquable volume se propose, en quelques chapitres très clairs, de couper court aux pires bêtises qui circulent encore sur Jeanne. Car depuis plusieures années, les recherches ont permis d'établir de façon scientifique et incontestable la vie de la " Pucelle d'Orléans ". Face aux hypothèses sensationnalistes que l'on peut lire ou entendre encore, Colette Beaune, avec la rigueur et l'exigence d'une grande historienne, rétablit ici la vérité : Jeanne fut-elle bergère ou fille d'un roi caché? Avait-elle des pouvoirs spéciaux puisqu'elle a été condamnée pour sorcellerie ? A-t-elle vraiment libéré le royaume ? A-t-elle fait couronner le roi de France à Compiègne ? Était-elle vierge ? A-t-elle péri sur le bûcher ?
Un livre utile et passionnant pour les curieux...

Jeanne d'Arc, Du Guesclin, Talbot, Étienne Marcel, Charles le Mauvais, Pierre le Cruel, le Prince Noir, Charles VII, Jean II le Bon, Crécy, Poitiers, Azincourt, la Peste noire, ces personnages, ces faits, ces événements de la guerre de Cent Ans (1337-1453) sont dans toutes les mémoires. En les replaçant dans leur contexte et en les débarrassant de leur aspect convenu, le livre de Georges Minois a le mérite de les dépasser en montrant la signification profonde de ce conflit interminable.
Première guerre européenne qui marque le passage de la chrétienté médiévale à l'Europe des nations, la guerre de Cent Ans est aussi une guerre totale qui transforme les techniques militaires (le canon se substitue peu à peu aux lances et aux flèches), les régimes politiques (l'absolutisme français ainsi que le parlementarisme français y sont en germe), les économies nationales (l'étatisme français s'affirme contre le libéralisme anglais). C'est sans doute dans le domaine des mentalités que la guerre de Cent Ans provoque des bouleversements essentiels : en opposant langue, culture, psychologies, elle forge les identités nationales des pays européens, la France et l'Angleterre surtout, désormais ennemis irréductibles.
Sous la plume alerte de l'auteur qui alterne récit circonstancié des événements et multiplicité des analyses, la guerre de Cent Ans apparaît comme une épopée à la fois sanglante et fondatrice.

stack-of-books-cartoon-clipart-ai-generative-free-png.webp

"Nous voici arrivés à l'heure fatidique où ce qui se joue n’est rien de moins que le destin de la France et l’avenir de notre peuple". Alors que confrontés à l’effondrement de leur pays, de plus en plus de Français se demandent « que faire ? », Stanislas Berton révèle le processus de destruction méthodique de la France et de son peuple par une minorité d’idéologues tout en proposant des solutions concrètes pour neutraliser leur influence, sauver notre pays et restaurer sa grandeur. Un livre fondateur pour reconstruire une France fière, une France forte, une France retrouvée. En pensées et en actes.

Ce livre rassemble les essais publiés sur le site internet de Stanislas Berton entre Octobre et Novembre 2019. "Avec ce livre, j’ai souhaité partager le fruit de plus de dix années de travaux, pratiques et théoriques, dans le domaine des sciences humaines et comportementales, proposer au public une synthèse accessible des connaissances nécessaires pour comprendre les grands enjeux économiques, politiques et sociaux du XXIe siècle et enfin montrer les dangers du cloisonnement des savoirs et la fécondité d’une approche transversale dans la compréhension des systèmes complexes. En vérité, je n’ai fait que suivre ma curiosité, voici les chemins sur lesquels elle m’a mené." Stanislas Berton

La guerre de Cent Ans, la Peste noire et les grandes compagnies, les révoltes et les défaites. Malgré tant de malheurs, l'espoir n'a pas manqué aux contemporains qui ont vu dans leur temps le beau XIVe siècle et encore moins à Charles V: dès le jour de son avènement, il affirmait sa volonté de bouter les ennemis hors du royaume ".Un roi sage, un règne réparateur. Arrivé au pouvoir à dix-huit ans, en pleine crise, ayant fait face à Etienne Marcel et aux états généraux, à la contestation dynastique et à la levée de boucliers contre l'Etat moderne, Charles V, devenu roi, sans quitter sa chambre ni son étude, dirigea la reconquête du royaume. La sagesse de l'homme fut la patience. La sagesse du roi, ce fut de porter le débat politique sur le terrain intellectuel, de penser l'Etat, de l'expliquer en clair et en français. La science politique moderne est sortie de là. Ce fut d'abandonner les méthodes brutales du gouvernement et de leur préférer la loi et la justice. Ce fut encore d'engager la royauté dans le chemin qui conduit à l'Etat de droit.Françoise Autrand, ancienne élève de l'ENSJF, est agrégée d'histoire, docteur ès lettres, professeur à l'Ecole normale supérieure. Spécialiste d'histoire politique du Moyen-Age, elle est l'auteur d'une thèse d'Etat sur le personnel du Parlement de Paris et d'une vie de Charles VI. Elle a collaboré à une histoire des fonctionnaires et de la fonction publique en France."

Henry_II_of_France.-removebg-preview.png

Du Guesclin est l'une des figures les plus attachantes de la guerre médiévale. Prodigieusement laid et doué d'une force peu commune, il se distingue très tôt comme un redoutable combattant.
La guerre de Succession de Bretagne et la guerre de Cent Ans vont fournir à ce petit noble breton des conditions idéales pour exercer ses talents de chevalier: pendant quarante ans, il chevauche et guerroie de Cherbourg à Séville et de Brest à Tarascon. Simple chef de partisans dans la forêt de Brocéliande, il connaît ensuite une ascension sociale spectaculaire, qui fait de lui un connétable de France, le familier des princes et des rois, l'ennemi personnel du Prince Noir et de Charles le Mauvais. Loyal, habile et courageux, mais aussi brutal et impitoyable, le connétable n'a qu'une passion: la guerre.
Le rôle de Du Guesclin dans l'histoire militaire tient à sa capacité d'innover, d'inventer des ruses, de s'adapter aux circonstances pour surprendre l'ennemi. Il sait concilier les exigences de la guerre chevaleresque et le réalisme de la guerre de mercenaires. Cet infatigable soldat débarrasse ainsi la France des grandes compagnies, place Henri de Transtamare sur le trône de Castille, chasse les Anglais de France. Mais sa fidélité indéfectible envers Charles V le met dans une situation difficile face à ses compatriotes bretons, et c'est en Lozère qu'il mène ses derniers combats, plutôt que de guerroyer contre les siens.

L'Ascendance Davidique des Rois de France et leur parenté avec Notre-Seigneur Jésus-Christ, la Très Sainte Vierge Marie et saint Joseph est un sujet qui me tient très à coeur depuis soixante ans. Avant que d'étudier les documents, je dois vous dire comment j'ai été amené à penser que les Rois de France pourraient vraisemblablement descendre du Roi David. Je peux dire en toute vérité, que c'est providentiellement qu'en 1924 j'ai étudié puis écrit mon premier livre: La Mission Divine de la France. Au cours de cette étude, j'ai été frappé, puis très ému, par le parallélisme rigoureux existant entre les serments faits par Dieu à David en faveur de la descendance du saint Roi et de sa Race et les promesses inspirées par Dieu à saint Remi en faveur de Clovis et de sa Race, saint Remi agissant comme Légat Pontifical pour tout le royaume de France. Cette émotion intense m'a ouvert des horizons absolument insoupçonnés jusqu'alors et qui, touchant à ma Foi, multiplièrent mon amour et ma reconnaissance envers Dieu d'abord, et aussi envers la Race de nos Rois à laquelle depuis toujours ma famille demeure passionnément attachée. Ma foi me disait que là était la Vérité. Mais il fallait historiquement le prouver. D'où mes recherches.

Après le Guide Secret et les Nouveaux Secrets sur les Templiers, une sélection des histoires les plus mystérieuses et originales sur l'ordre du Temple dans un ouvrage grand format. * Des gravures anciennes en couleur font entrer le lecteur au coeur d'un univers méconnu. * De sujets sur le trésor de Rennes-le-Château, le procès des Templiers, la présence templière à Paris, le château de Gisors, le trésor de Payns... Tous font découvrir un autre pan de cet ordre disparu. En couverture : les Templiers et les croisades.

saint_louis_louis_ix_roi_de15527-removebg-preview.png

« Ce n'est donc pas assez de dire comme on le fait communément, même parmi les hommes les plus monarchiques, que le gouvernement monarchique est préférable à tous les autres, au gouvernement aristocratique, démocratique, et même mixte, il faut dire absolument que le gouvernement monarchique est le gouvernement propre des États, leur gouvernement naturel, et en quelque sorte nécessaire, de même que le gouvernement paternel est le gouvernement propre, naturel, et aussi en quelque sorte nécessaire de la famille. Il faut dire encore qu'en dehors du gouvernement monarchique tous les autres gouvernements n'ont de valeur qu'en ce qu'ils remplacent du mieux qu'ils peuvent ce gouvernement absent, et que l'ordre de leur mérite respectif est précisément l'ordre de leur ressemblance avec le gouvernement monarchique. Celui d'entre eux qui s'en rapproche le plus est aussi le plus parfait, ou plutôt le moins imparfait, le gouvernement monarchique, pur et simple, étant toujours le seul gouvernement vrai, naturel, parfait. »

« […] Il est donc permis d'être républicain au sein d'une république qu'on n'a pas faite, qu'on ne peut pas changer ; mais ce qui n'est pas permis, même à la république, c'est de glorifier le régime républicain, de célébrer son avènement, d'exalter ses fondateurs, d'appeler la république le règne de la liberté, et la monarchie celui de la servitude. Voilà ce qui est interdit, parce que c'est participer au crime de ceux qui ont fondé la république. Qu'on subisse le mal en silence, avec résignation, mais qu'on ne le glorifie pas. »

« Si ce sont les peuples qui se sont faits eux-mêmes, ces peuples s'appartiennent, ils sont souverains, l'État est leur chose, leur bien, leur propriété, et par origine, par nature, par essence, à jamais par conséquent, car les essences des choses ne changent pas, le peuple est souverain et l'État républicain, le peuple su fût-il même donné des rois, car ce qu'on se donne est bien à soi, ce qu'on fait est bien son œuvre, et on en dispose comme on l'entend ; seulement, dans ce dernier cas, cette démocratie sera royale, au lieu d'être bourgeoise ou populaire.
» Mais si ce sont les rois, au contraire, qui ont fait les peuples, non en figure, non par métaphore, mais à la lettre, physiquement, comme le père a fait sa famille, ou la mère-abeille son peuple, si la nation est une ruche, une famille, non un troupeau formé par attroupement, rassemblement, alors, par origine, par nature, par essence, à jamais par conséquent, l'État monarchique, même sous le régime du conseil de famille, puisque c'est à la place du père, avec le pouvoir du père que ce conseil gouverne la famille, non avec le pouvoir des enfants.

Vingt-cinq ans après la publication de son livre, « Le Génocide franco-français : la Vendée-Vengé », Reynald Secher, grâce à la découverte aux Archives nationales de documents totalement inédits, démontre, preuves à l'appui, que le génocide de la Vendée a bien été conçu, voté et mis en oeuvre personnellement par les membres du Comité de salut public et par la Convention, et que l'armée et l' administration n'ont fait qu'exécuter les ordres. Afin d'échapper à leurs responsabilités et de masquer la logique idéologique et politique qui menait inéluctablement la République jacobine au génocide, ces criminels et leurs héritiers politiques ont nié les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale. Ils ont ainsi perpétré un second crime, celui de mémoricide, qui, par un renversement pervers, a désigné les victimes vendéennes comme bourreaux et transformé les bourreaux jacobins en victimes. À ce premier scandale s'en est ajouté un second : ces bourreaux ont bénéficié de toutes les faveurs et des honneurs de l'État, tandis que les victimes et leurs descendants, traumatisés, ont été réduits au silence et en permanence persécutés, se retrouvant ainsi exclus d'une citoyenneté qui leur revenait de droit.

Henri-de-la-rochejacquelein-1-removebg-preview.png

Écrit comme un roman, cet ouvrage est aussi un manuel d'Histoire un peu particulier... Au fil du récit, l'auteur s'efforce de mettre en évidence le rôle des saints dans notre Roman national. Souvent obscurs ou méconnus, les saints, instruments de la Providence, ont contribué de siècle en siècle, à passer de la barbarie païenne à la Civilisation. L'objectif n'est pas, ici, de répertorier notre patrimoine chrétien, mais de montrer que sans les saints, la France ne serait pas la France. ? Un livre de 350 pages illustrées, couleurs, couverture souple à rabats. ? Destiné aux familles et aux enfants dès 8 ans. L'auteur a une formation d'enseignante en Lettres-Histoire. Elle écrit de nombreuses vies de saints et se passionne pour les grandes croisades chrétiennes : la Guerre de Vendée, la Reconquista espagnole, la lutte des Cristeros mexicains. La véritable Histoire de France... L'Histoire de France est une histoire d'amour : amour passionné pour Dieu, son prochain, son pays. « Fille aînée de l'Eglise », on ne peut la comprendre si l'on ignore la profonde foi qui l'animait , c'est ce que firent trop d'historiens qui ignorèrent les apports bénéfiques de son attachement à l'enseignement du Christ. Constituée de différents peuples, elle fut unifiée par la Foi, et sur les préceptes de l'Evangile naquit une admirable civilisation de chevaliers, de châteaux, de moines et de cathédrales, d'oeuvres de charité et de missionnaires dévoués. Tout au long de son histoire, on voit les saints jouer un rôle majeur, l'Eglise tempérer les belliqueux et exalter la générosité. Nos racines sont chrétiennes, et ce que la France a de meilleur elle le doit à sa Foi, c'est ce que vous découvrirez à la lecture de cet ouvrage...

photo_2024-09-19_21-04-17-removebg-preview.png

L’histoire des Sociétés Secrètes emplit d’énormes et nombreux livres en toutes langues, et malgré cela, les Sociétés Secrètes savent exercer une suggestion si habile sur les meilleurs esprits, qu’elles sont parvenues à faire complètement négliger, par presque tous les historiens, leur influence dans le monde. Combien pourtant est grande cette ''malfaisante puissance'' des Sectes que la divulgation des fiches rédigées par les délateurs du Grand-Orient de France est venue faire éclater en fin aux yeux les plus fermés jusqu’alors ! Les Sociétés Secrètes ont toujours exercé des ravages ; elles, furent nuisibles et criminelles autrefois, comme elles le sont aujourd’hui encore – immuables dans le Mystère, immuables aussi dans le Crime. Mais les honnêtes gens de tous les partis ne se doutent point du mal qu’elles font, du mal plus grand encore qu’elles peuvent faire, parce qu’ils ignorent la montagne de forfaits qu’elles accumulèrent dans le passé. C’est pourquoi il est opportun et cohérent de donner un aperçu du rôle malfaisant des Sociétés Secrètes à travers le monde et les âges, en remontant de près de 21 siècles, avec un soin scrupuleux aux sources historiques les plus pures.

Jacques Bainville (1879-1936) était un historien et journaliste français renommé, reconnu pour sa profonde compréhension de l'histoire politique européenne.
"Histoire de France" offre une exploration captivante de l'évolution complexe et riche de la nation française à travers les siècles.
Bainville, historien érudit, tisse habilement le récit, offrant des perspectives éclairantes sur les périodes clés telles que la Révolution française, l'époque napoléonienne, et les bouleversements politiques et sociaux qui ont marqué l'histoire hexagonale. L'ouvrage explore également les facteurs culturels, intellectuels et économiques qui ont contribué à la singularité de la France.

61xms8czb9L._SL1500_.jpg
71tIyVyiOGL._SL1500_.jpg

Le matin du 21 janvier 1793, les dernières paroles de Louis XVI sur l'échafaud ont été étouffées par les tambours de Santerre. Deux cents ans après, sa voix a d'autant plus de mal à se faire entendre que mémorialistes et faux témoins s'acharnent à parier à sa place. Mieux encore, de nombreuses lettres apocryphes circulent encore, que les historiens répugnent à laisser de côté parce qu'elles les arrangent ou qu'elles leur paraissent " plus vraie que les vraies " Voici, réunis pour la première fois, un choix d'écrits authentiques du dernier roi Très Chrétien : lettres officielles ou familières, discours, actes de la puissance royale, réflexions politiques, etc. Ils embrassent toute sa vie, depuis son enfance heureuse et studieuse jusqu'à la veille de sa mort, de 1762 à 1793. Louis XVI parle enfin, révèle ses idées, ses projets, ses intentions, sa grande espérance à la veille de 1789, la " véritable plaie de son coeur " pendant les dernières années. C'est vraiment un autoportrait riche d'émotion et de surprises pour le lecteur habitué aux stéréotypes contradictoires du " tyran " ou du " pauvre homme " dont se contentent habituellement les livres d'histoire.

" Qu'on lui coupe le cou, le procès viendra après ", s'écrie la Reine de coeur en montrant du doigt sa victime, dans le chef-d'oeuvre de Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles. " Ici, nous sommes tous fous ! " lui répond en écho le Chat du Cheshire. C'est ce qu'illustre la couverture de ce livre, et ce que rappellent les exergues en tête de l'Introduction et des Chapitres. Quand on s'astreint, comme Paul et Pierrette Girault de Coursac, à chercher dans les divers dépôts d'archives les clefs du procès de Louis XVI, on retrouve la même impression d'absurdité, de " nonsense ", de cauchemar pour tout dire, les Jacobins de la Convention jouant le rôle de la Reine de coeur, la Commune et son terrible maire Petion, celui du Chat si habile à tendre des pièges à la pauvre Alice. Mais l'absurdité n'a pas cessé il y a deux cents ans, elle s'est perpétuée. Les historiens héritiers spirituels des " Grands Ancêtres " ont toujours voulu, avec Robespierre, un Louis XVI coupable " ou la République n'est point absoute ". Et les historiens héritiers des princes et des émigrés ont toujours voulu un Louis XVI d'accord en secret avec ses frères, pour légitimer leur conduite. Car s'il ne l'est pas, dira Calonne leur conseiller, si ses actes publics expriment bien sa volonté, " les princes et nous avons cru devoir lui désobéir, nous sommes donc tous des rebelles ". Il fallait donc sortir du pays du " nonsense " et de celui du Miroir, et poser les bonnes questions : - que sont devenus les témoins ? pourquoi si peu d'écrits du Roi lui-même dans les pièces du procès ? quels papiers contenait l'Armoire de fer ? le Roi connaissait-il, approuvait-il la correspondance de Marie-Antoinette avec les souverains étrangers ? etc. Il fallait ouvrir les dossiers oubliés depuis si longtemps, non seulement aux Archives nationales et aux Archives des Affaires étrangères à Paris, mais aussi aux Archives départementales du Loiret à Orléans, aux Archives d'Etat d'Autriche à Vienne, aux Archives d'Etat de Prusse à Merseburg, aux Archives royales de Suède à Stockholm, au Public Record Office à Londres. Il fallait chercher la vérité sans passion autre que celle de la vérité, sans motif politique, sans avoir peur d'être gêné ou déçu. Il a fallu quatre mois aux juges de Louis XVI pour préparer l'acte énonciatif de ses " crimes ". Il a fallu deux cents ans aux historiens pour essayer de justifier ce sacrifice humain, la mise à mort d'un innocent. Il a été accordé onze jours à Louis XVI et à ses trois avocats pour préparer sa défense. Dix ans, c'est le délai qui a été nécessaire pour mener à bien l'Enquête sur le Procès du Roi, et en faire une nouvelle édition, revue, corrigée augmentée et complétée.

pdv_atlan_LXVI_029.jpg
bottom of page